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« ARCHÉOLOGIE DE L’ESPACE,

fantômes de l’espace ou drôles d’histoires… »,

 

travail en workshop pour une proposition d’espace immersif/praticable....

 

dans le cadre du projet pédagogique de la Fondtion Ecureuil,

dont le thème est "tu sais, c'est vivant!".

 

Intervenante professionnelle : SOIA (Sophie Torchia, illustratrice, graphiste et scénographe, membre du Collectif Indélébile)

 

 

avec les classes de Terminal MAVI, BTS DCEV2 et DDP2 et leurss professeurs : Karim Antar, Benoit Libourel, Anne Mazzini et Hélène Templon et Emmanuel Bernier,

 

 

Le projet se situe autour de la narration, du récit, de la poétique d’un lieu, et interroge :

• Faire de l’archéologie spatiale : traces/indices/morceaux/

• Ecouter l’espace: apparition, ombre, bruits, silences, ambiance, vibration, chaleur, froid, échos, installation, palimpseste, porteur de transmission, de mémoire

• Raconter l’histoire : fantasmer, écrire, rédiger, des acteurs, des décors

Histoire : chroniques, commentaires, évocations, mémoire, narration, récit, version, relation, souvenir, épisode, conte, anecdote, fable, légende, mythologie, synopsis

• Scénographier l’histoire, donner à voir et à parcourir l’histoire :

marquer/indiquer/révéler/matérialiser/ témoigner...révéler les énergies, structures , mettre au jour ,donner à voir, dénuder, dégager, manifester, déceler, dévoiler, divulguer, montrer, lever le voile, saisir, offrir, souligner, attester, ressortir, surgir, résonnances.

• Construire un projet collectif qui décloisonne les classes, les niveaux et les disciplines de la cité scolaire.
 

Proposition de travail

Il est demandé aux étudiants/élèves de réaliser dans un endroit choisi du bâtiment L une installation essentiellement à base de papier rendant compte d’une archéologie du lieu, de CE lieu précisément. A eux d’imaginer, d’inventer ce qui «a été ici» et a disparu depuis…

Qu’est-ce qui a été là ? Quelle Histoire s’est déroulée là ? Y a-t il un «Esprit du lieu « (le genius loci). L’installation déployée dans l’espace s’appropriera le lieu en le mettant en « conversation », en instaurant de nouvelles relations* avec celui-ci. Loin d’une simple exposition de traces et indices divers disséminés au hasard dans l’espace, ils devaient concevoir un espace réellement immersif, c’est-à-dire dans lequel le visiteur sera immergé, entouré, happé, au sein duquel il pourra vivre l’expérience d’un autre lieu qui «a été». Ils ont ensuite invitez le spectateur dans ce récit du lieu, comme un trésor qui leur appartient et qu’ils racontent.

 

Références :

Narration et scénographie (figuratives ou abstraites): travaux d’Emilie Faïf, diaporama d’œuvres immersives (en papier) dans des espaces publics ou des lieux de culture qui sont support de réflexion à des principes spatiaux exploitables (l’endroit/ l’envers du décor, jeux d’échelle, illusion, mise en abîme, perception de près/de loin...), expériences de l’intervenante SOIA.

 

Réalisation exposée

La trace des installations in situ : Format A3 avec titre, scénario et photos, diaporama dans cadre numérique.

 

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